Teaser - Grand Betisier de Noel 2011 -


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EPIC!!! ReVelation 2 | Clip du Jour | Call of duty Montage édité par Archangelika


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Zemmour la crise et 2012...


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Vision de Dolores Cannon d 'une Nouvelle Terre 2012


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Kamelanc' - Direct


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lac rose imperial devant pape mor lo

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Rampworx Spotlight: Matty Lavelle youtube


Rampworx Spotlight: Matty Lavelle


Last week we caught up with one of the freshest young talents in the skatepark, 14 year old Matty Lavelle. But dont let his age fool you this kid has some serious skills

Somethin 'Stupid ... youtube


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Bonus Vidéo - Santa Claus Freestyle Moto - Jorian Ponomareff


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''Le''réseau social - Bébé tu es un homme riche


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François Berléand se lâche à son tour sur Eva Joly et son accent


Invité à parler actualité et politique sur RMC, l'acteur François Berléand en a remis une couche sur Eva Joly et son accent norvégien. 

Une coquetterie linguistique qui suffit, selon l'acteur, à rendre choquante la candidature de l'ancienne magistrate.

"Je ne comprends pas qu'une femme candidate à l'élection présidentielle ne sache pas parler le Français sans accent, ça me choque". Après Patrick Besson et Marine Le Pen, c'est au tour de  François Berléand de commenter les origines d'Eva Joly, et son accent norvégien en particulier . Dans l'émission des Grandes Gueules de jeudi dernier, l'acteur français a ainsi estimé que la représentante des Verts, qui possède la double nationalité franco-norvégienne, "ne devrait pas être candidate". Et le comédien de faire même un peu d'humour, "cela fait quand même quarante ans qu'elle est en France. Comme Jane Birkin, elle n'est pas douée pour les langues." Avis à l'ancienne muse de Gainsbourg dont Berléand ne verrait pas la candidature à la présidence française d'un très bon oeil.
Le droit du sol selon Berléand ou l'exception zone Euro
"Aux Etats-Unis, dans la Constitution américaine, si quelqu'un n'est pas né sur le territoire américain, il ne peut pas accéder à la présidence de la République", précise encore François Berléand pour appuyer son propos. Un critère d'accession à la candidature qui n'existe pas en France, où l'on se contente de retenir la nationalité des candidats au moment où ils se déclarent.
Etonnant et un peu contradictoire non, de la part d'un citoyen qui déclare être un européen convaincu ? Pas tant que ça. "La Norvège n'est pas dans l'Europe. Si elle avait été italienne oui, d'accord, mais là, elle n'est pas dans la zone Euro, désolé".
Désolant oui, en effet...
©Images RMC

Dimanche orange sur les routes


Dimanche orange sur les routes

Par Europe1.fr
Publié le 23 décembre 2011 à 09h55Mis à jour le 25 décembre 2011 à 10h19
     
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Le week-end de Noël sera chargé sur les routes.
Le week-end de Noël sera chargé sur les routes. © MAXPPP
TRAFIC - Mieux vaut prévoir de rentrer à Paris avant 16 heures, ou après 20 heures.
Ce week-end de fête s'annonce chargé sur les routes, en raison des fêtes de Noël mais aussi du début des congés chez nos voisins belges, néerlandais, allemands et britanniques, qui fréquentent les stations de sports d’hiver françaises.
La journée de dimanche, la journée est classée orange dans le sens des retours en Île-de-France et en Bourgogne, et vert au niveau national. Mieux vaut prévoir de rentrer à Paris avant 16 heures, ou après 20 heures. La journée est classé vert dans le sens des départs.
Lundi, la journée sera également verte dans le sens des retours au niveau national, mais orange en Île-de-France. Il faudra éviter de quitter Paris entre 11 heures et 15 heures. Dans le sens des départs, Bison Futé voit orange en Île-de-France et en Bourgogne, et vert pour le reste du pays. Là encore, il est recommandé de rentrer à Paris avant 15 heures ou après 20 heures.

L'interminable parcours judiciaire du Rwandais Callixte Mbarushimana


LEMONDE.FR | 24.12.11 | 15h15   •  Mis à jour le 24.12.11 | 16h30
Callixte Mbarushimana, le 28 janvier 2011 à La Haye
Callixte Mbarushimana, le 28 janvier 2011 à La HayeAFP/JERRY LAMPEN

LA HAYE, CORRESPONDANCE - Callixte Mbarushimana est un habitué des arcanes judiciaires et des procédures kafkaïennes. Une semaine après le non-lieu prononcé par les juges de la Cour pénale internationale (CPI), basée à La Haye, le Secrétaire exécutif des Forces démocratiques pour la libération du Rwanda (FDLR), accusé de crimes contre l'humanité et crimes de guerre commis en 2009 contre des civils dans le Kivu (est de la République démocratique du Congo), a été libéré, le 23 décembre, et a pris immédiatement un vol pour Paris, où il bénéficie, depuis 2002, du statut de réfugié politique.

A son arrivée à Roissy, vendredi après-midi, le Rwandais a été conduit par la police française devant un juge d'instruction, chargé de lui rappeler sa mise sous contrôle judiciaire. Car si, le 16 décembre, les juges de la CPI ont sanctionné l'absence de preuves solides dans le dossier du procureur et ordonné la libération immédiate de Callixte Mbarushimana, le Rwandais fait toujours l'objet d'une information judiciaire en France ouverte en décembre 2010 et visant sa participation présumée au génocide rwandais de 1994.
Malgré le non-lieu de la CPI, le Secrétaire exécutif des FDLR, une milice composée en partie de hutus exilés en RDC après le génocide rwandais, a dû passer une semaine de plus dans sa cellule de La Haye. Le maintien en détention de M. Mbarishimana a provoqué la colère de son avocat, Arthur Vercken, qui a dénoncé une "détention arbitraire", et celle, plus discrète toutefois, des juges, furieux de voirleur décision non exécutée. Paris a bien donné son feu vert au retour en France de Callixte Mbarushimana, mais ce dernier fait l'objet, comme plusieurs membres des FDLR, d'une interdiction de voyager émise par les Nations unies. Il a fallu plusieurs jours pour lever, provisoirement, ces sanctions.
Cet informaticien rwandais âgé de 48 ans, ancien employé des Nations unies au Rwanda, en Angola et au Kosovo, vient de passer près d'un an dans une cellule de la prison de la Cour pénale internationale, mais ce n'est que le dernier en date des nombreux épisodes de sa saga judiciaire.
En 1999, des juges du Kosovo avaient refusé de l'extrader vers Kigali, où il devaitrépondre de sa participation supposée au génocide de 1994, faute de preuves, mais son contrat avec l'Onu avait été annulé, ce pourquoi, Callixte Mbarushimana, exilé à Paris, a demandé et obtenu, d'ailleurs, des réparations. Dans le même temps, le procureur du tribunal pénal international pour le Rwanda (TPIR), avait abandonné le dossier faute de preuves. L'Onu avait bien demandé à la France deconduire une enquête sur sa participation présumée dans le génocide rwandais, mais à l'époque, Paris rechignait à juger sur son sol les Rwandais exilés.
Ce n'est qu'après la "réconciliation" franco-rwandaise de 2009 que la France montre un début d'intérêt pour les dossiers rwandais, ouvrant finalement une information judiciaire en décembre 2010. Entre temps, M. Mbarushimana avait été arrêté à la demande de la Cour pénale internationale et avait rejoint, le 25 janvier 2011, la prison des criminels de guerre à La Haye. Le procureur, Luis MorenoOcampo, l'accusait d'avoir commis des crimes contre l'humanité et des crimes de guerre en 2009 et 2010. Selon l'accusation, Callixte Mbarushimana avait, par le biais de communiqués de presse émis depuis Paris, participé à un plan de reconquête du Rwanda, le FDLR tentant de faire chanter les gouvernements congolais et rwandais en promettant l'arrêt des massacres en échange du pouvoirà Kigali.
Pour comprendre la faiblesse du dossier du procureur, il faut revenir à l'enquête. En raison de l'instabilité dans le Kivu, région de l'est du Congo où évoluent les FDLR, les enquêteurs ont conduit l'essentiel de leurs activités depuis le Rwanda voisin. A plusieurs reprises, Luis Moreno Ocampo a d'ailleurs salué la coopération du président rwandais, Paul Kagame, ennemi juré des FDLR. En septembre 2010, alors même que le Haut-commissariat aux droits de l'homme remettait un rapport soulignant l'implication des FDLR, mais surtout du régime rwandais dans les crimes du Congo, son adjointe, Fatou Bensouda, s'était rendue à Kigali pourassister à l'investiture du chef de l'Etat rwandais, fraîchement réélu.
Comme dans d'autres dossiers, le procureur s'est allié avec les ennemis de ses cibles, faisant peser sur ses actes des soupçons de partialité. Pour les victimes des FDLR, ce non-lieu est une déception. "L'arrestation de Callixte Mbarushimana (...) avait suscité au sein des victimes et des communautés touchées l'espoir devoir justice rendue. Cette décision accentuera sans aucun doute leur souffrances", a déclaré André Kito, de la Coalition pour la Cour pénale internationale, un lobby d'ONG qui milite en faveur de la CPI. Mais la décision des juges, en rectifiant les erreurs du procureur, pourrait cependant redorer un peu le blason de la Cour, dont la crédibilité apparaît fragilisée.
Stéphanie Maupas

Les gardiens d'immeubles HLM bientôt armés


Un tonfa, bâton de défense, ici avec un équipement de policier. (© AFP Ludovic Caillere)
Les agents de surveillance et de gardiennage des immeubles collectifs de type HLM pourront désormais être armés de bâtons de défense de type «tonfa» et d’aérosols incapacitants ou lacrymogènes, selon un décret du ministère de l’Intérieur publié vendredi au Journal officiel.
Ce décret d’application de la loi du 2 mars 2010 (dite «loi Estrosi» sur les violences en bandes) entrera en vigueur dès samedi. Il concerne, précise-t-on vendredi soir au ministère de l’Intérieur, «uniquement les agents chargés d’assurer la sécurité dans les immeubles de type HLM», comme par exemple les hommes du GPIS (Groupement parisien inter-bailleur de surveillance), et non les gardiens d’immeubles (concierges). Selon ce décret, les sociétés de gardiennage travaillant pour les bailleurs d’immeubles collectifs d’habitation «pourront acquérir et détenir» des aérosols incapacitants ou lacrymogènes «et des bâtons de défense de type "tonfa"».
L’agent de sécurité devra faire l’objet d’une formation spécifique comprenant «un module théorique sur l’environnement juridique du port d’arme» et «un module pratique», qui sera «sanctionnée par un certificat individuel de réussite». Cette formation est un «préalable» à une «demande d’autorisation de port d’arme individuel», qui doit être faite au préfet.
Les armes devront être entreposées dans un local non accessible au public et sécurisé. Le gardien «ne les porte que le temps strictement nécessaire à l’exercice de sa mission».
Utilisé par les policiers ou les agents de sécurité du métro, le tonfa est une arme de 6e catégorie qui se compose d’une matraque, à laquelle une poignée latérale perpendiculaire a été ajoutée à son premier tiers. Son port est interdit sans autorisation administrative et son transport est réglementé.

Policier tué à Vitrolles : le suspect présumé écroué


Publié le 24.12.2011, 09h32 | Mise à jour : 21h56
Marseille. Les policiers du GIPN escorte le suspect interpellé le matin dans un camp des gens du voyage lors de son transfert au Palais de Justice.

Marseille. Les policiers du GIPN escorte le suspect interpellé le matin dans un camp des gens du voyage lors de son transfert au Palais de Justice. | AFP / GERARD JULIEN

Zoom
Quinze jours après le décès du lieutenant Eric Lalès, 37 ans, mortellement blessé à Vitrolles (Bouches-du-Rhône), un premier suspect a été arrêté samedi matin à Marseille.  L'homme est en effet soupçonné d'avoir participé à la qui a été fatale au policier. 
La procureure d'Aix-en-Provence, en charge de l', précise que l'homme de 35 ans était déjà «recherché sur mandat d'arrêt de la cour d'assises de Nîmes» dans le cadre d'une autre affaire. Il avait été condamné par défaut en janvier 2011 à une peine de 15 ans de réclusion pour le  d'une bijouterie de Beaucaire (Gard) le 25 septembre 2007. Jugé pour «vol à main armée en récidive légale criminelle», l'accusé, qui comparaissait libre, avait pris la fuite juste avant le verdict. «Pour le moment, rien ne laisse dire qu'il est impliqué dans l'assassinat du collègue», a toutefois déclaré à l'AFP la direction générale de la police nationale (DGPN).

Il a été interpellé samedi à 6 heures du matin dans le camp de Ruisseau Mirabeau (16e arrondissement), abritant des familles de gens du voyage sédentarisées, lors d'une opération conjointe de la brigade criminelle de la police judiciaire et du GIPN (Groupe d'intervention de la police nationale).
Présenté en début d'après-midi au parquet, il a été écroué à la prison des Baumettes, a indiqué son avocat Me Bruno Rebstoc
Le policier Eric Lalès avait été touché à la tête et à l'épaule par un tir de kalachnikov au cours d'une course poursuite avec des malfaiteurs, auteurs d'une série de cambriolages dans la nuit du 27 au 28 novembre. Un des agresseurs avait été tué, les autres avaient réussi à prendre la fuite. Le fonctionnaire de police, lui, a succombé à ses blessures le 8 décembre. 
Comme l'avait promis Nicolas Sarkozy lors de sa visite à Marseille, juste après la mort du policier, les brigades anti-criminalité des Bouches-du-Rhône sont désormais équipées de fusils à pompe.

Au total, les fusillades à la kalachnikov ont fait cinq morts ces dernières semaines dans le même département.
Dans un dernier règlement de comptes, le dixième à Marseille depuis 2001, un mineur de 17 ans, connu de la police pour de petits trafics, a été tué jeudi matin d'une rafale de kalachnikov au pied de son immeuble de la cité de la Castellane (15e arrondissement).